Chaque année, 1/3 des PME françaises disparaissent suite à un départ à la retraite pas ou peu préparé. Petits conseils afin de mener à bien sa transmission d’entreprise.
Il faut tout d’abord optimiser les résultats de l’, en réduisant les charges sociales du poste du dirigeant, mais aussi celles de sa force de vente. Ce procédé permet d’améliorer visiblement sa rentabilité et d’augmenter la valeur de l’ aux yeux des repreneurs potentiels.
Dans un même temps, il est bon de réviser la forme juridique de l’, toujours pour permettre une évaluation juste.
La seconde étape consiste à trouver l’acheteur idéal. Cette recherche est cruciale pour l’, et le plus souvent difficile. De nombreux organismes (agences, sites internet..) existent et vous apporteront une aide substantielle. Une entente étant parfois difficile à trouver, notamment au niveau du prix, faire appel à un professionnel de la négociation se révèle souvent être le meilleur compromis afin de satisfaire les deux parties : cédant et repreneur.
Ensuite, lorsque le choix du repreneur sera fait, il faut assurer l’opération juridiquement, en mettant par écrit tout le procédé de cession, étape par étape. De même il est avantageux de s’intéresser à la transmission du capital à ses enfants en limitant les droits de succession. Cette démarche permet de réduire sensiblement la facture fiscale de l’impôt sur les plus-values, impôt qui mène nombre de créateurs à fermer leur sans pouvoir en assurer la succession de l’.
Faire appel à des spécialistes tout au long du processus de transmission (experts comptables, avocats, professionnels de la négociation…) permet bien souvent de mener cette opération à son terme le plus sereinement possible.
Source: Transmission--Magazine.fr
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